26 octobre 2002

Hier, avec ton papa, nous sommes allé voir un spécialiste qui nous a annoncé que tu n'avais rien.
Ce qui t'es arrivé serai dû a un mauvais "rapport" entre nos deux corps.
Il m'a dit que tu avais du lutter et souffrir avant que ton petit coeur ne s'arréte. Je m'en veux de n'avoir rien senti.
Ensuite nous sommes allés te voir au cimetière. Papa n'a rien dit, mais je pense qu'il souffre comme moi. Je n'arrive pas a faire ton deuil. Je pense que je n'arriverais pas tant que tu ne seras pas prés de nous.
Mon enfant, ma toute petite fille. Je sais que ma vie doit continuer et que je dois faire face.
Je t'aime de tout mon coeur petit ange et nul ne te remplacera jamais dans mon coeur.